Vous envisagez de suivre une cure thermale pour soigner votre pathologie chronique et vous vous dites qu’il serait astucieux de profiter de vos vacances d’été ? Hormis les contraintes administratives liées à la fermeture des thermes, la validité de la prise en charge par la Sécurité sociale, vous êtes libre de choisir vos dates de séjour.
Adapter les dates de cure à sa pathologie
Selon de nombreux médecins, la période idéale pour faire une cure est septembre et octobre afin de profiter de l’hydrothérapie avant la saison hivernale. C’est particulièrement conseillé si vous souffrez de rhumatismes, de problèmes respiratoires. La fréquentation des centres varie au cours de l’année. Les mois de septembre/octobre sont des périodes de grande affluence. Les mois de juillet/août sont plus calmes. Les curistes salariés profitent de leurs congés pour effectuer une cure alors que les seniors fuient les fortes chaleurs. Le personnel est aussi plus détendu l’été. Une cure conventionnée dure trois semaines. Les soins sont généralement dispensés le matin. Pour le temps libre, il est donc plus agréable de bénéficier du beau temps.
Le prix de l’hébergement
Les frais sont pris en charge notamment pour les cures conventionnées. Vous pouvez aussi bénéficier d’une prise en charge à la fois pour le transport, l’hébergement à hauteur de 65 % selon les conditions de ressources. Les hôtels et les locations affichent des tarifs plus élevés en été et en automne. Si vous voulez faire des économies, prévoyez votre cure en dehors de ces périodes. Même s’il faut tenir le rythme des soins, faire une cure est agréable. Souvent, les centres sont situés dans des endroits magnifiques : bord de mer, montagne. On peut alors bénéficier des conditions climatiques exceptionnelles. Vous pourrez, après les soins, visiter la région comme si vous étiez en vacances. Ce séjour de bien-être et de remise en forme apaisera votre corps et votre esprit.
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