Contrairement aux idées reçues, les réserves d’eau ne sont pas illimitées, il peut y avoir des pertes qu’il ne faut clairement pas négliger. De ce fait, les humains doivent être conscients que les ressources de la planète doivent être respectées de A à Z notamment pour éviter un épuisement qui aurait des conséquences dramatiques pour tout le monde. Les réserves d’eau sont différentes par rapport à l’eau douce. Par exemple, en plus de 4 milliards d’années, la perte correspond à une hauteur de trois mètres.
Un volume différent notamment pour l’eau douce
Si vous prenez en compte le volume global pour l’eau, il est toujours le même, mais il y a des disparités qu’il ne faut pas négliger. En effet, l’eau douce n’est pas aussi illimitée que certains pourraient le penser. Par rapport au volume global, il faut savoir que les eaux douces représentent près de 2.8 % seulement. En ce qui concerne la répartition, elle est éloignée de certaines moyennes puisque la présence est plus forte dans le Sud.
- Les humains ne peuvent utiliser qu’une toute petite partie du volume d’eau qui est présent sur la planète.
- Cela représente moins de 1 %, ce qui est donc très faible par rapport aux réserves d’eau globales que vous pouvez identifier sur l’ensemble de la Terre.
- Les Hommes peuvent alors puiser dans des cours d’eau, des réservoirs naturels ou encore artificiels ainsi que des nappes souterraines.
Il faut également noter que l’eau a tendance à se renouveler en permanence grâce à un procédé spécifique, cela permet d’avoir des réserves en fonction des besoins même s’il existe des disparités. Vous avez donc l’évaporation, la condensation, les précipitations, l’infiltration ainsi que le ruissellement, la stagnation ou encore le retour à la mer. Notez également que 62 % de l’eau potable a tendance à provenir des nappes phréatiques superficielles et profondes. Pour les 38 % qui restent, les sociétés puisent dans les lacs, les torrents et les rivières.